Tracklist
Beat Conductor
Scorn of Dying Glare
Silent Rest of The Undefeated
Label
Industrial Strength
Date de sortie
2009
Ou l'acheter
Discogs
BPM
Dans les 140, 150, je suis pas tres doue pour trouver un BPM.
Bon, autant je vous ai presente la pire face du Hardcore Italien dans ma chronique de Sickest Squad, autant la j'ai plus envie de vous parler d'un groupe qui me tient vraiment a coeur: Armageddon Project.
J'ai toujours ete passione par le Hardcore Mid Tempo, Darkcore, Doomcore, Industrial, appelez ca comme vous voulez. Manu le Malin est passe par la: j'ai pas arrete de rechercher des trucs sur les artistes apparaissant sur les Biomechanik et les 13Core. Pour moi, si c'est lent, lourd et gras, alors ca me plait. Et en l'occurrence, Armageddon Project (que j'avais justement decouvert sur 13Core vol 2) est clairement un des dignes representants de cette tendance.
Des arrangements industriels plutot complexes et tres travailles au service d'une musique pourtant terriblement efficace, ce "Cineri Gloria" est une tuerie absolue. Faites le test: passez "Beat Conductor" en soiree, lobotomie du public assuree.
C'est pumpy, ca groove, c'est techno, et en meme tellement Hard. Pas besoin d'aller vite avec eux pour que l'intensite en arrive a son maximum. Et pourtant, au dela du pur dancefloor, on a droit a des ambiances de malade, comme en temoigne "Scorn of the dying glare" et ses kicks rampants, ou encore "Silent Rest of the undefeated" auquel il ne manquerait qu'un clip, tant ce morceau est visuel.
Non serieux, vous pouvez y aller les yeux fermes, et le reste de la disco est tout aussi bon.
C'est pas du gros lourd, nom de Dieu? 
SYMPA 
MOI J'AIME BIEN LE HARDCORE LENT
COOL LA DECOUVERTE 
Cool cette critique, t'a bien fait d'équilibrer tout sa après la descente en flèche des Sickest Squad
Pareil gros amateur de doomcore du coup c'est une bonne découverte pour ma part, ma préférence pour la seconde, merci à toi.
C'est tout sympas tout ça 
Merci à toi voracious
« Si les portes de la perception étaient nettoyées, chaque chose apparaîtrait à l'homme comme elle est, infinie. » William Blake
