Kidult : graffiti is not dead

Retour sur « l’enfant terrible » du tag qui arrose à l’extincteur les façades des boutiques de luxe parisiennes et recouvra à Los Angeles d’un gigantesque TOY un mur peint par le pseudo street artiste du film de Bansky, « Exit Through the Gift Shop ».

Pour sa campagne virale visant à promouvoir son parfum FlowerTAG, la marque de prêt-à-porter Kenzo a utilisé le tag comme faire-valoir. La réponse de Kidult, fidèle à sa philosophie, ne s’est pas fait attendre bien longtemps.

« Dans une culture subventionnée où le street art est devenu la dernière lubie, plusieurs marques de luxe utilisent le graffiti comme faire valoir, en méprisant cette culture. J’ai donc décidé de leur donner ce que ces marques aiment tant… ». KIDULT

Voici une vidéo où interviewé et en action KIDULT parle de sa démarche, rendre sa peinture intelligente en éveillant les consciences face à la société de consommation du luxe

« Dans une culture subventionnée où le street art est devenu la dernière lubie, plusieurs marques de luxe utilisent le graffiti comme faire valoir, en méprisant cette culture. J’ai donc décidé de leur donner ce que ces marques aiment tant… ». KIDULT