Bonjour, Invité · Connexion · Inscription
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lapin · Administrateur

13-09-11 15:25:48

11-07-11 · 13 872

  81 

Bonjour à tous !!!


Aujourd'hui petite minute culture avec une compilations des bouquins traitant de la culture techno.

Bien sur tous ne sont pas de la même qualité, certains ont d'ailleurs acquis une forte notoriété pour autant si vous souhaitez devenir incollable sur ce mouvement je ne saurais trop vous conseiller de les lires...




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Retrouvez Electrochoc à télécharger sur https://www.bassexpression.com/viewtopic.php?id=12342



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Retrouvez Accros de Techno à télécharger sur https://www.bassexpression.com/viewtopic.php?id=2566



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Technomades - la piste électronique



C'est une virée sur la route à laquelle nous convie T. Colombié, reporter (Géo) et W. Estève, photographe (Libération).
Leur idée : suivre les Sound Conspiracy (Total Resistance + Facom Unit + O.Q.P.) dans leur mythique voyage vers Goa (Inde).

Du célèbre Centre Autonome d'Expérimentation Sociale de Ris Orangis où W. Estève fait connaissance avec les United Forces Of et son leader Allan, en passant par la frontière Iranienne où il est convenu qu'ils retrouvent les Sound Conspiracy, ce périple haut en couleurs n'est pas exempt de galères (tracasseries administratives, pirates de la route etc.) mais bonne humeur et patience sont les deux principales armes des travellers.

Les deux auteurs développent une vision assez proche de cet univers qui fait tantôt rêver, tantôt fantasmer tant de ravers européens.
Cependant, le texte laisse entrevoir que "la route" se mérite et n'est pas à la portée de tous car elle oblige parfois à évoluer en marge de la légalité...

Après nous avoir gratifié d'un livre, comment dire, sans surprise et quelque peu racoleur (cf. Drogues et techno, Thierry Colombié et Nacer Lalam, Stock), T. Colombié passe-t-il son rattrapage électroniquement correct !?

N.B. : le livre vendu sous blister s'accompagne d'un C.D. mixé (U.F.O.).

Retrouvez Technomades à télécharger sur : https://www.bassexpression.com/viewtopic.php?id=11369


mayaBZH · Membre +

10-10-11 00:56:18

14-07-11 · 641

  

(LAPIN!! j'avais même pas vu ce post!! smile )
avis perso sur le bouquin de Lionel Pourtau, "TECHNO voyage au coeur de nouvelles communautés festives":
livre long & assez chiant à lire, oeil trop extérieur de l'auteur à mon goût, CNRS oblige...

lapin · Administrateur

25-10-11 15:55:54

11-07-11 · 13 872

  81 

Merci pour le tuyeau !! moi je trouve que plusieurs livres ont l'air intéréssant

Nevrakse · Moderateur

25-10-11 18:22:55

16-10-11 · 4 285

  28 

Personnellement,je ne lis pas ^^

lapin · Administrateur

25-10-11 21:43:25

11-07-11 · 13 872

  81 

Moi nan plus pas trop mais certains bouquin ici sont incontournables tout de même ..

kaou · VIP

25-10-11 22:22:56

14-07-11 · 1 297

  14 

Le premier est un recueil de photos avec quelques articles et des extraits de TAZ d' Hakim Bey, pas trop mal, beaucoup de vieux tekos en photo.

lapin · Administrateur

24-03-12 00:09:51

11-07-11 · 13 872

  81 

Découvrez le contenue du livre :

10 ans de techno +

http://lesyeuxdanslemonde.org/documenta … 6649e07c2f

tipierr · Ripeur / Uploadeur

24-03-12 09:24:46

31-01-12 · 380

  24 

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Pour préciser le mec qui a écrit ce bouquin, Guillaume Kosmicki c'est Tournesol DE OKO SYSTEM.... Il est maintenant enseignant conférencier, "spécialiste" des musiques électroniques...
J'ai pas lu le bouquin mais ça a l' air pas mal je pense...

Retrouvez le livre + CD à télécharger sur : https://www.bassexpression.com/viewtopic.php?id=12333

Et sinon le même monsieur a publié un autre bouquin sur l' histoire des musiques électroniques, sous titré " Des avants-gardes aux Dance floors"
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TeKnOZiK · Orange Bud

24-03-12 10:08:04

08-10-11 · 2 068

  47 

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Le livre s’ouvre le 31 décembre 1999, l’occasion pour le lecteur d’assister à une fête branchée où la musique est reine et les drogues psychédéliques.

Le début du nouveau siècle, la fin d’une aventure amoureuse, sa passion pour les océans : de rêves étranges en messages codés... tout pousse Éva à partir pour Bali, où est annoncée une mystérieuse rave party.

D’îles secrètes en rencontres épiques, de coïncidences stupéfiantes en transes chamaniques, l’héroïne nous entraîne alors dans une intrigue singulière où les éléments ne font qu'un avec la musique.



Que ce soit pour décrire une soirée parisienne ou nous faire vibrer avec les volcans, Stéphanie Lopez s’impose par une écriture alerte, un tantinet décalée mais non dénuée d’humour.

Le roman, où la musique est présente de manière récurrente et obsessionnelle, met également en scène des artistes connus comme Syd Matters, Aphex Twin ou Alan Wilder (Depeche Mode).

Enfin, ce qui peut être lu comme un roman d’aventures est aussi une réflexion documentée sur l’avenir de notre planète en proie à de multiples tourments.

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Bechamelle · Compte mis en Parking

28-04-12 13:29:22

03-04-12 · 139

  

"Si vous cherchiez un point commun entre Daft Punk et Karlheinz Stockhausen, Giorgio Moroder et Aphex Twin, Public Enemy et Brian Eno, n’allez pas plus loin : ils font tous partie de la plus grande aventure musicale de la fin du XXe siècle (et du début de ce siècle), celle des musiques électroniques."


Je suis en train de le lire et n'en suis pour le moment qu'a un stade de "premiere, premiere  lecture et demi". Je n'ai donc pas fait le tour du livre, loin de là! lIl a l'air plutôt complet, je pense qu'il fournis une base pour comprendre la musique electronique et son évolution. Trés documenté et avec de nombreuses pistes d'écoute (c'est en parti pour cela que je l'ai acheté). En plus d'avoir une réele reflexion et un certain recul sur le sujet, il s'avère être un bon moyen de détente. Ecouter tout en lisant permet une immersion totale dans le sujet et a je pense affiné mon oreille quand à la multitude de genres qui forment la musique électronique. Il évoque également l'évolution de la technique liée à cette musique en commençant par le début (le phonographe) en passant par le bon vieux moog et en allant jusqu'a nos sequenceurs et autres synthétiseurs analogiques. Il convient autant à des personnes ayant une connaissance restreinte qu'à des connaisseurs confirmés...



(Le passage sur Detroit... OUaaaaa)

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Abalam · Bass Addict

02-05-12 16:32:05

29-04-12 · 359

  

Un petit lien pour le voir en pdf wink

http://teknoparty.are.free.fr/doc/3672.htm



..un joli livre pour les amateurs de free.

lapin · Administrateur

19-06-12 11:17:29

11-07-11 · 13 872

  81 

L'Etat face aux rave-parties. Les enjeux politiques du mouvement techno
par Loïc Lafargue de Grangeneuve



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L’ouvrage de Loïc Lafargue de Grangeneuve, qui traite des relations entre l’Etat et les acteurs des raves-parties, est tiré d’une enquête financée par l’INHESS (Institut National des Hautes Etudes de Sécurité). Cela a permis à son auteur d’accéder aux services du Ministère de l’Intérieur et autres administrations en charge de la gestion des raves.

Il a ainsi recueilli des données très riches qu’il traite avec les outils d’analyse de la sociologie des politiques publiques. De ce fait, il apporte un éclairage bienvenu sur ce phénomène, notamment dans l’analyse de la série de changements et de réajustements que l’Etat a opérés dans sa gestion des free-parties en raison des conséquences imprévues des politiques engagées1.

Dans cette perspective l’importance des free-parties (raves sauvages, non autorisées), que connaît la France dans la seconde moitié des années 1990, est considérée comme un effet pervers de la politique d’interdiction des raves sous toutes ses formes dans cette période. Car cela favorise le renforcement des raves clandestines au détriment des raves légales qui subissent de plein fouet cette politique d’interdiction, par le fait même de leur signalement aux autorités. Alors que les raves clandestines, dès lors qu’elles restent invisibles, échappent aux interdictions. Et lorsque les forces de l’ordre les détectent, elles sont la plupart du temps non seulement prises de vitesse mais aussi démunies opérationnellement et juridiquement pour intervenir.

Le rapport de force s’inverse ensuite avec l’adoption d’une nouvelle législation en 2001 (entrée en application au printemps 2002) qui soumet les rassemblements de plus de 250 personnes à un régime de déclaration préalable sous peine de saisie du matériel de sonorisation en cas d’infraction. La mesure est efficace et le nombre de raves illégales diminue fortement avec cette législation. Mais cette politique comporte un point aveugle avec la persistance de raves illégales de grande ampleur, susceptibles de provoquer des affrontements violents. Et c’est à la suite de l’un de ces rassemblements importants, le teknival du 15 août 2002, que le Ministère de l’Intérieur de Nicolas Sarkozy décide d’infléchir sa politique en faisant émerger des représentants des free-parties pour négocier avec eux la mise en place de teknivals (grandes raves pouvant durer plusieurs jours) « officiels » et co-gérés. Mais ces rassemblements de plusieurs dizaines de milliers de personnes s’avèrent problématiques en raison de leurs coûts, liés notamment à la mobilisation des différents services de l’administration, de même que leur lieu d’implantation suscite des controverses récurrentes.

Cela pousse l’Etat à infléchir de nouveau sa politique à partir de 2005, en tentant de favoriser les rassemblements de taille modeste considérés comme plus faciles à gérer. Mais ces derniers, ajustés à la loi, sont rares. Les causes de cet état de fait sont à chercher d’une part, dans le cadre contraignant imposé aux organisateurs et d’autre part, dans les réticences des administrations déconcentrées et des collectivités locales face à la mauvaise réputation des raves. En cela, le régime de déclaration préalable fonctionne en pratique comme un dispositif d’interdiction. Loïc Lafargue de Grangeneuve montre que la nette diminution des rassemblements clandestins « ne s’est pas traduite pas un phénomène d’institutionnalisation des rave-parties ».

Pour tenter de faire évoluer cette situation, le Ministère de l’Intérieur cherche alors à assoir l’autorité des médiateurs qu’il a mis en place dans les préfectures dès 2002. Ceux-ci étaient censés favoriser l’obtention d’autorisations pour les organisateurs de raves qui rempliraient les critères imposés par le cadre légal en facilitant leurs rapports avec les préfectures et les collectivités locales. Un autre volet de cet infléchissement de la politique du Ministère de l’Intérieur concerne le relèvement du seuil au-delà duquel les raves sont soumises à une déclaration préalable. En 2006, celui-ci passe de 250 à 500 personnes. Volet complémentaire note l’auteur, dans la mesure où le régime de déclaration préalable est difficile à appliquer et qu’il convient alors de le réserver aux rassemblements de taille moyenne. Ce ne sont ici que les grandes lignes d’une politique qui a ses constantes et ses revirements et que l’auteur détaille dans ses différentes implications.

Appuyé par de longs extraits d’entretiens qui donnent corps au propos, le lecteur suit en détail les modalités concrètes de l’action des forces de l’ordre concernant la surveillance du territoire pour contrer l’apparition de raves sauvages jusqu’à celles concernant la gestion des flux des teknivaliers. La sociologie des politiques publiques éclaire les aspects de la gestion des raves au regard des nouvelles normes de management et de coopération des différents services de l’Etat tout comme les effets de résistances locales aux rave-parties que l’auteur décrypte comme une variante du syndrome NIMBY (not in my backyard). Sont ainsi analysées les tensions entre les services de l’Etat et les collectivités locales quand les premiers se retrouvent aux côtés des organisateurs contre les élus locaux résistant farouchement à la tenue d’une rave sur leur territoire. M

ais les tensions peuvent aussi survenir à propos de la question de la drogue face à laquelle deux logiques entrent en tension, avec une démarche de répression du trafic menée par les forces de police et une politique de réduction des risques portée par le monde associatif qui cherche à informer les consommateurs considérés comme des êtres rationnels sur les conséquences de leurs actes. Cependant, si l’analyse de la politique de l’Etat envers les rave-parties est convaincante, celle qui concerne la politique des rave-parties l’est moins. L’auteur semble accorder beaucoup plus d’importance, dans l’exposition des motivations du mouvement des free-parties, au « positionnement rebelle » ou aux attitudes d’évitement des autorités qu’aux valeurs souvent revendiquées comme l’amateurisme ou la gratuité. Si elles ont pu être dévoyées, c’est néanmoins celles-ci que les sound-systems ont réussi à imposer à l’Etat avec l’organisation des teknivals officiels.

Même si la fête libre se voyait lourdement encadrée, encourageant la fracture avec ceux qui refusaient tout compromis comme cela est décrit par ailleurs. Enfin, la mise sur le même plan de la marginalité sociale et des minorités ethniques ou sexuelles pour accréditer l’idée d’un « lien récurrent entre techno et marginalité sociale » (p.29) est discutable2. De plus, catégorisé de cette manière, la gestion quasi-exclusive d’un phénomène culturel et artistique par le Ministère de l’Intérieur et non par le Ministère de la Culture, qui apparaît à l’auteur comme un paradoxe, n’en est pas vraiment un. Ne serait-ce pas plutôt une manifestation parmi d’autres d’une dérive sécuritaire que l’on observe depuis plusieurs années ?



Le phénomène techno: clubs, raves, free-parties
par Etienne Racine


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Depuis le début des années 90, le phénomène techno ne cesse de prendre de l'ampleur en France et dans la plupart des pays occidentaux. Les fêtes légales (clubs, raves) ou illégales (free-parties, teknivals) regroupent des milliers de participants autour de la musique et de la danse.

Ces grands rassemblements suscitent fascination et interrogations inquiètes, provoquant des réactions politiques contrastées. Les fêtes techno entraînent-elles la mise en danger - drogues, lieux insécurisés... - d'une partie de la jeunesse ? Ne constituent-elles pas, au contraire, par leur dimension iconoclaste, des espaces salutaires de rupture et d'authenticité artistique ?

Etienne Racine, ethnologue de la génération techno - il fut longtemps DJ -, nous initie à cet univers du rythme et de la nuit et étudie, sans rien éluder, ces pratiques festives. Dans cet ouvrage exhaustif et impartial, il met au jour une véritable mouvance culturelle, avec son langage, ses modes de communication, ses références et, plus profondément, ses aspirations.

guits39 · Bass Explorer

20-08-12 16:37:50

20-08-12 · 76

  

Trés bonne idée ce topic, eh oui msieur-dames les jurés: les teufeurs savent lire.. yikes

Va savoir ! , Guits live

gonzo23z · Sound System

27-10-12 13:37:23

24-10-12 · 97

  

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Livre de photos des artistes tekno en rave, club, FG, chez eux, dans la rue, au resto....

ce bouquin reste introuvable à l'achat comme d'autres plus haut.

x-plozif · Sound System

27-10-12 18:32:51

30-11-11 · 838

  30 

Merci pour le regroupement de tout ces livres !!! Je doit recevoir free parties une histoire des histoires la semaine prochaine pour mon anniv je vous direz se que j'en ai pensé !

http://www.son2teuf.org/xplozif/   <-- ma page
http://www.son2teuf.org/nyut/   <-- page de ma copine
http://www.son2teuf.org/subKonscient/   <--page de moi et ma copine