Les portes de ma perception...

A graph, peinture, photos, j'aurais ajouté "écrits"...

Oui, pour certains d'entre nous, la musique se voit...elle est entre autres, l'illustration, et l'expression animée de son créateur...

Donc, et avant toutes choses, dédicace à un être rare, à une entité qui m'habite, et à un temple invisible qui pourrait en scotcher plus d'un dans les bas-fonds, et ce, pour les siècles des siècles...

Je sais qui tu es, je ne cherche ni à te flatter, ni à te manipuler, je souhaite juste te faire honneur, te restituer un peu de ce que je suis devenu grâce à toi, et que tu me considères ou non, que tu me respectes ou pas, je ne te laisse pas le choix, car ici, et maintenant, tu es un pilier, et tu mérites, toi, ainsi que les tiens, un minimum d'égards.

Alors ne m'en veux pas, mais je désir que ma lumière fasse, le temps d'une lecture, partie de toi, tout comme la tienne, fait partie de moi...

Tant que je serais lucide, je ne t'oublierais pas, et n'oublierais, si le cosmos le veut bien, jamais ce que vous avez fait pour moi.

Certes, vous avez du vous dire que tout ces efforts, que tout vos efforts, ont été fait en vain, mais détrompez-vous, car ce qui a été fait, ne l'a pas été pour rien, mais pour tout...

Et si j'ai pris plaisir à t'écouter, j'aimerais sincèrement, que toi, tu puisses prendre plaisir à me lire.

Alors où que tu sois, et quoi que tu fasses, tu es à mes yeux, un très grand Monsieur.

Merci, et que Dieu te garde.




Merlin


L’odyssée puissante de la baleine,
Son exploration défiant le temps
Et les origines du grand œuvre,
Est le chemin méconnu de l’oreille absolue.

Magicien,
Propagateur d’ondes,
Ce géant du fluide cosmique
Côtoie les ombres abyssales
Et les dimensions obscures.

Les archives de cet être,
La culture qui s’accorde
A son déplacement tactique,
Tel un sous-marin au potentiel redouté
Et redoutable,
Enrichissent son monde.

Connexion essentielle en lien avec l’ A.D.N
Et l’univers,
Gardien de notre histoire,
Cette entité diffuse sens et conscience,
Au travers des relais techniques de ses sciences.

Maître des fréquences étudiées,
Génie épaulé d’armes fiables,
De rêveurs affranchis,
De récepteurs attentifs,
D’humbles disciples,
Et de témoins impliqués ou non dans les transmissions déployées,
Il est le mage qui rend possible l’expression de ce flot,
Et qui dans une certaine mesure,
Se noie dans le silence de nos cerveaux.

Les boucles …


L’ombre hélicoïdale,
Froide et synthétique,
Est l’œuvre de l’abîme,
Elle est le repère désarticulé de la volonté,
Du savoir et des sciences associées.

Les frappes précises,
Les coups qui atteignent l’espace cérébro-psychique,
Et qui affichent la mort sans crier gare,
Sont le calcul spontané de l’étrange art en amont.

Les puissantes démonstrations,
Mobiles et à l’adresse des caves,
Sont le corps visible de l’âme qui s’égare.

L’organisation,
Absente du génie marginal,
Elabore en aval les furtives opérations
De la voie létale,
Liée à l’ascendant tribal de l’innovation et de la différence.

Les mesures particulières,
Celles qui collent au désordre apparent,
Sont un leurre,
Une étape sourde que seuls les esprits en phase savent apprécier.

Les essentiels éléments,
Eux,
N’appartiennent en fait qu’aux maîtres,
Disciples affranchis de la spirale,
Et qui renouvellent les principes évidents qui touchent les liaisons,
Et les terminaisons profondes de la surface musicale
Des forcenés mystérieux,
De cette légende de l’ailleurs.

Masque de nuit


Je me souviens d’elle,
De cette improbable escorte,
De cet être bienveillant,
Gardien du temple de ces mots.

Ma reine,
Je ne suis qu’un idiot,
Je suis le repère autiste de ton monde
Et de ses maux.

Quand les énergies se complètent,
Qu’elle s’unifient,
Les existences en phase
Abordent la synergie.

Je dispose ces lettres,
Les ordonnes pour toi,
Tu as envahi ma tête
Et le stylo au bout de mes doigts.

Je fais parti des plus graves,
Des arrachés de première,
Perché au-delà des cimes je dessine ce réseau.

Je crois au délire ultime
Car j’abrite son sens,
Et fort d’un je ne sais quoi,
Je me hisse au plus haut.

Des ténèbres à la lumière,
Sur le fil de mon état,
Je te sais
Et je te vois.

Je me destine au néant,
A l’inconnu et au chaos,
Mais je m’y presse.

L’espérance et l’amour,
Sur la volontaire marche
Et sur le palier renégat,
Se tiennent et se détiennent
Dans le monde de ce pas.

Alors,
J’honore la mémoire d’un temps découvert,
Et de parcelles annexées sous l’égide du trouble,
Ce,
Pour t’apercevoir encor.

Ainsi,
Mes prières sur les terres de cette île,
Ne se répandent pas,
Elles flottent dans le désert de ce vide
Qui n’attend plus que moi.

Et c’est en ombre solaire,
Qu’invisible,
Je survis aux détails,
Que je survis aux pages de ma poésie,
Libre,
Libre d’être le feu sans la flamme
Et sans le cœur de cette vie.

C'est parce que ce qui compte vraiment, est invisible pour les yeux, que vous restez dans mon cœur.
Merci de m'avoir accordé du temps et de l'énergie.
J'ai foi en vous.
Pardonnez-moi si je vous ai fait un tort quelconque.
Evoluez, mais ne changez pas, et cela vaut ce que ça vaut mais vous avez tous, ma...

Reconnaissance


L’unité fomentée dans l’ombre des géants,
Est le défi et l’accueil
Des cavaliers.

Les rondes obsédantes
Et le parfum de mort de l’école,
Tantôt sinistre
Et tantôt lumineuse,
Sont le quotient de réelles intelligences,
Le fruit extraordinaire d’une foi aveugle
Et aveuglante ;
Réservée à l’élite des ombres.

Dans ce paradis mystérieux,
Ou bien dans cet enfer,
Le marionnettiste envoie
Et digère l’essence des choses ;
Ses solides témoins,
Eux,
L’assistent et le créditent,
Faisant de lui un pionnier.

La magique contribution
Se fait monde,
Et relais,
En dehors du saint des saints,
Au travers et pour lui,
Mais pas seulement ;
Car l'autre témoin qui les aime
Est atout,
Et danger,
Et il doit conjuguer ces aspects
Afin de préserver et de faire grandir
Les gens et les valeurs,
Dans la surréaliste transmission
Des clefs de leur heure.

Dialogue


C’est dans une terrienne transe,
Que je trace dans l’espace
Les chemins de tes cieux.

L’alphabet efficace
Délivre ces signaux,
Ces transmissions qui se déplacent
Et déterminent ces lieux.

Les caractères,
Courbes et droits,
Digèrent le vide,
Oeuvrent pour nous,
A l’envers ou à l’endroit de l'abîme.

Tu réserves les ressources
Et des morceaux de toi,
A ceux qui t’embrassent ;
Je m’avance et te sais,
Ivre de ces terres lasses.

Je puise donc en ton sein,
Les ingrédients de cette mixture,
Puis les éléments de cette écriture
Qui scelle mon destin.

Alors pressons-nous vers cette porte,
Et traversons ensemble ce regard,
Car en fait je te le dis,
Nous ne sommes qu’une ombre,
Un courant d’air de plus,
Aux pieds des murs de l’infra-monde
Et des gardiens de cet art.

Le vecteur


Je couche sur le marbre froid
Le sang de cet art,
Je distille les peines,
Les réflexions et les scènes
Qui avortent parfois dans l’oubli.

L’échéance grave sur la lame
Les notes d’une gamme empruntée ;
Et je sais l’interlude sec
De son tranchant affuté.

Sur les rives de l’accord
Une main se tend,
Elle dessine d’abord des ordres dans le vent ;
C’est le chemin détourné d’un rêve en musique,
C’est la route dédiée d’un écho élastique.

Des têtes tombent
Sur le théâtre du bruit,
Le corbeau sonde
Les mystères de la vie.

Le son,
Est un réveil qui survit ;
Il est le démon d’un paradis qui nous lie.

Dose 23


Les fondations psychédéliques
Et leur base mouvante,
Absorbent les réalités des bandes passantes.

Le pilier psychopathe
Et son ciment dans les veines,
Soutient les oubliés arrachés à leurs peines.

L’abri psychotique
Imperméable aux autres,
Chaperonne les alliés d’improbables spationautes.

Le monde psychiatrique
Dans son long couloir,
Est le passage dédié aux courtisans d’exutoires.

Mais le moyen psychotonique,
Dans sa raison moléculaire,
N’est que le simple invité d’un aliénant univers.

Le relais


Possédé par les longueurs musicales,
Manipulé par cette connaissance
Qui me lie à elles,
Je suis l’effectif miroir de ce qu’elles sont,
Un instrument,
Ou plutôt,
La réponse instrumentale de mon écoute,
Et de l’analyse instantanée de leurs définitions.

Un son,
Un acte,
Telle est la dimension extrême de la relation intime,
Vécue et viable du premier degré étudié
Et assimilé.

L’interprétation,
Elle,
Se fait dans l’élucidation du sens commun,
Ce défi caché derrière l’ordre interne
De l’âme du son,
Et de son créateur.

Le mur


Les machines nomades du réseau alternatif,
Sont les navettes immobiles des psychonautes.

Les explosions pacifiques
Et les implosions violentes,
Dessinent les frontières d’improbables états.

Les nuances spectrales atteignent les zones universelles
Et les détours cryptés du sens commun,
Laissent s'échapper le semblant de liberté
Qui brosse les marches de l’ignorance.

L’anti-sens,
De l’arrivée au départ,
Soutient la norme poétique de ceux qui trouvent
Et qui cherchent ensuite.

Les aspects mystérieux du voyage
Et de l’impact qui caresse les cimes de l’esprit,
Se fondent dans la masse impersonnelle
Et abreuvée par l’écho de la source.

Mais le florilège des émotions,
Maîtrisées ou non,
Est un bouquet de roses adressé par les airs,
Balayant la prose de ses épines guerrières.

L’ombre hélico


La spirale est dans mon sang,
Elle élabore ma tenue,
Mon ordre,
Et les accords harmoniques de mon existence.

Je conçois cet avenir tatoué en moi,
Pâle exécuteur de sa faille,
Je suis le déserteur affiché,
Mais qui n’a jamais renié l’aspect passionnel de ses entrailles.

Mon clan est dans mes larmes,
Mes larmes m’élèvent,
J’élève mon clan,
Telle est la marque vitale du cinquième élément.

Armé d’un stylo,
D’une lame à mon image,
Je suis encor en vie,
Pour penser ce corps lié à une dynamique sans âge.

Je chante les louanges d’un rapide carrefour animé,
Et je fais de quelques pas observés,
Des années lumières de sentiers dédiés.

Les enfers m’ont soufflés l’acceptation,
En réponse à des paradis qui m’ont soufflés,
Eux,
Le doute et ses remises en question.

Et si je considère la mémoire de mes pères,
Et de mes frères absents,
C’est parce qu’ils vivent et répondent présent
Dans l’univers nucléique de mon état,
Spirale organique d’ici,
Spirale synthétique d’ailleurs,
Serpentin métaphysique de mon cœur
Et veilleur de l’essentielle flamme de ma foi.

Alors,
Les vibrations amoureuses prennent forme derrière le désordre apparent,
Elles sont la base et les fondements multiformes de l’évolution cyclique,
De l’intelligible firmament.

J’aurais donc bien des difficultés à fermer la parenthèse qui m’a déposée là,
Plausible raison pour laquelle,
L’immortalité fait partie intégrante de ce combat.

Mes élus le sont,
Pour avoir été là pour moi,
Cette invisible réunion à scellée les marches de ma voie.

Et c’est en éternel débiteur,
Que le crédit de mes mots leur appartient,
Je suis modeste lueur dans ce monde organisé que je dépeins.

A découvert


Face au mur,
Je pénètre le sens de la marche guerrière de mon enfance,
Et je renoue avec la violence de celle-ci.

Tout me ramène là-bas,
Dans l’enceinte de la torture,
Et la nostalgie du passé réveille la mémoire incertaine,
De mes cellules habitées.

Ici,
Je me sens comme chez moi,
Pièce maîtresse de mon enfermement
Et de ma libération.

Je colle à ce monde,
Décrypte les codes assassins nécessaires à ma survie,
Et oblitère le reste.

Eduqué,
Elevé en zone franche,
Je suis le combattant de mon histoire.

Soldat hanté par des extrémités,
Mon champ de vision est sans limite,
Et me permet d’adhérer aux parois lisses de l’expression.

Les boucles hypnotiques,
Celles qui détendent le fil d’Ariane qui me lie à moi-même,
Transforment l’espace-temps,
Et la demeure de mes certitudes.

Evadé d’un dangereux piège,
Je trouve asile en ce lieu mobile
Et désarticulé.

Mais ce retour à moi,
Amorce les contraintes dépassées
Et mises à mort,
Par cette liberté chèrement gagnée.

Je renonce donc à cette passion,
Ainsi qu’à la couronne malléable de mon ascension,
M’épargnant ainsi les joutes obligées de la bêtise.

Et si seule la vie est importante,
Alors je me contente,
Serein,
D’immortaliser la déroute
Et le regard figé,
De l’ombre de ma réinvention.

Pacification


Mur de son à l’horizon,
J’en pleur,
J’ai sombré quelque part
Et j’ai cessé d’exister.

Je suis perdu dans le brouillard,
Dispersé dans un trou noir,
Je n’ai plus d’essence,
De substance
Et de rêve.

Ô ma musique ;
T’ai-je abandonné,
T’ai-je livré au néant,
T’ai-je sacrifié aussi sur la terre du vague à l’âme ?

J’ai escorté tes mesures jusqu’à ma religion,
Je suis défais sans toi.

Je t’aime,
Je t’aime,
Et je t’aime ;
Je t’ai envisagé,
Je t’ai dévisagé,
Je t’ai failli.

Mes mots ont une odeur,
Ils sentent la cervelle
Et la fin de ces réunions.

Le silence est rompu,
Et je me m’applique à le réintégrer au cœur de ma folie.

L’acide coule,
Goutte à goutte,
Il fuit page après page,
De réseau en réseau,
Et il condamne les témoins impuissants à le rester.

J’ai oublié ma vie,
Un cauchemar a supplanté cet enfer devenu,
Un paradis.

Dans la boue ici,
Dans les étoiles là,
Que serais-je si je ne t’avais pas ?

Je m’entretiens avec le métal froid,
Cette gâchette aussi est une illusion.

Je dévore déjà la mort sous pression,
Adieu étincelle,
Adieu station.

J’ai su comment me comporter,
J’ai su tout envoyer chier,
Et j’ai su défier la raison,
Aboyer avec ou sans nom ;
Je suis sans air,
Je suis sans prison.

Je m’en vais,
Te dis à demain,
A tout de suite au plus tard,
Je suis décision,
Etendard brûlé de ma réflexion,
J’espace.

Qui suis-je pour être quelqu’un ?

Amen,
Mon calibre.

J’y parviendrais,
Mais alors,
Me retournerais-je vers toi mon frère ?

J’ai mal,
A force de ne plus rien ressentir d’autre qu’un futur amputé.

J’y suis,
Rien ne m’arrête,
Et puis des cartouches,
J’en ai beaucoup trop.

Allez l’ancien,
Ma feuille me le permet,
Viens,
Et dégénère,
Nous sommes profit.

Et si la place s’évapore,
Nous aurons gagné la suite,
Et le début de nos affaires.

Je te sais


Au couteau et dans la plaine,
Je les vois danser sur ce miroir.

C’est un doux tonnerre qui m’appelle,
Et qui fait raisonner cette voix.

Enfant des étoiles,
Dès l’aube je deviens.

Mille noms,
Ne suffiraient pas.

Amour originel,
Je fais avec et sans toi.

Je brille au devant de cette scène,
Mais je n'y suis pas.

C’est ta peur qui se répand,
Quand tout est transparent.

Face à l’enceinte de l’éternel,
Je ne suis qu’un mendiant.

Mon corps est en cendres,
Mon cœur au firmament.

Le silence est un son,
Dès lors que l’on s’y perd.

La volonté est une arme,
On ne peut plus solitaire.

Le pire des bourreaux t’aime,
Il n’aspire qu’à cela.

Evanouie toi sur cette nappe,
Mais la table est en haut.

C’est en paix que je guerroyais,
Un champ de bataille à la fois.

Dis oui à l’amour,
Avant d’y renoncer.

Les mélodies s’embrassent,
Et toi tu joues.

C’est une balle au bout,
Le sommet étant en deçà.

Je risque de t’entendre,
Œil absent de chez toi.

Les rythmiques sonnent,
J’en ai le sentiment.

Mais dis moi,
N’as-tu jamais vraiment tué personne,
Pour te sentir aussi vivant ?

Je suis allé vers le son, au lieu d'aller vers toi, car cette démarche altruiste qui est la mienne, est en fait, profondément égoïste...

.Repose en paix Shirley.

Pause


Je me contente des larmes,
Du souvenir acide
De ce charme qui me laisse.

Je reste sur ce ton,
Sur la mesure d’un air décidé dans le son.

Le choix définitif,
Le ticket de mon ascension,
Baigne dans le sang contenu d’un corps en suspension.

Les erreurs fatales,
Les actions bancales qui séduisent les mortelles raisons,
Ont le mérite entier d’être ce qu’elles sont.

Je presse ma main sur ce vide de toi,
Une éternelle caresse sur le mur de ta voix.

Les douceurs amères,
La libre suite austère d’une marche sans pas,
Vomissent le caractère de mon essentiel combat.

Je signe ton être de la marque de ma foi,
Ce petit rien qui te fera renaître à l’abri de mes bras,
Loin,
Loin de cette fenêtre ouverte sur ce reliquat.

Evidence synthétique


Je me confonds dans les phases obscures et mentales,
Tandis que la rythmique synthétique et guerrière,
Appuie cette dimension impitoyable à laquelle je colle.

Les vibrations sonores me percutent,
Et me pénètrent sournoisement.

Je me fonds dans ce bouleversement,
Dans cette amplitude parfois malsaine et violente,
Et latente en moi.

Les âmes qui m’entourent me comprennent,
Tout comme je les comprends.

L’énergie pure est sans volonté,
Sans intelligence,
La mienne est noire,
Et c’est parce qu’elle me hante
Et qu’elle rayonne lors des sets hardcores,
Que je sais ce qu’elle est,
Ce à quoi elle aspire,
Et ce qu’elle représente.

L’énergie pure est l’essence divine,
L’amour de notre cœur,
Le coeur de notre amour,
Et l’intuition liée à son écoute.

Je marche avec le potentiel premier
Et originel de l’univers ;
Mais de façon linéaire,
Si l’on occulte la boucle,
L’univers se situe entre deux destructions,
Deux explosions extraordinaires…

Si vous étiez anti-matière,
Et que vous saviez d’où vous veniez,
A quoi aspireriez vous ?

C’est la raison pour laquelle,
Seul Dieu,
La lumière et l’amour,
Peuvent nous sauver.

C’est en replaçant mon épée à sa place,
Après avoir mené ma quête à bien,
Que j’ai rencontré l’espoir vital et véritable,
De ma révolution.

Ainsi,
C'est au travers des mélodies
Et des expirations de leurs créateurs,
Que le monde danse,
Et que je suis traversé par l’inspiration profonde
Qui permet l’expression de ces savants.

Cette technologie révolutionnaire qui nous parle,
Est-elle bien la nôtre,
Et ne sommes nous pas,
Que les instruments d’un dessein qui ne serait pas le nôtre non plus ?

J’entrevois de potentiels plans,
Au travers des plans ;
Et c’est mon job que de songer à cela…

J’ai fait mon choix,
Et c’est parce que j’ai vécu toute mon existence en enfer,
Et que j’en suis revenu,
Que je me suis tourné vers Dieu…

Et sachant que la route des enfers,
Est pavée de bonnes intentions,
Je ne sais plus trop où je vais,
Même si je sais très bien où j’en suis.

Alors je suis un enfant des étoiles,
Mais il serait peut être sage que je renonce,
A vouloir rentrer chez moi.

A Sledge, et son "Mental Rough S4"... PEACE